Samedi dernier avait donc lieu le solstice d'été et sa non moins traditionnelle fête de la musique. Après avoir crapahuté dans Paris en compagnie de Lucie, Vincent n°2, Simon et Didier tels des touristes japonais à la recherche du saint pot de wasabi. Finalement après une très longue marche, un rafraichissement offert par les fontaines de la place de la Concorde et la rencontre avec des mariés qui dansaient sur les marches du petit palais ; nous sommes finalement arrivés au palais de Tokyo. Et là, vous l'avez deviné. J'ai embarqué tout ce beau monde se faire compresser et immortalisé par le très prisé photomaton.
Puis Lucie dut nous quitter, mais Didier ayant surement tout prévu à l'avance comme Paco avec la station Mir, il nous présenta Aurélie qui partagea ainsi la suite de nos trépidantes aventures. Après un arrêt diététique au McDo et une marche digestive à l'image de ces glandeurs de retraité ; notre passé d'alcoolique refaisait surface...
Et là c'est le drame, pas une seule goutte d'alcool n'est autorisée à la vente. Mais bon cela était s'en compter le réseau de vente clandestin hérité de la prohibition américaine. Finalement, nous trouvons notre bonheur auprès d'un petit groupe qui nous envoya du bon vieux rock, nous permettant ainsi de faire quelques pas de danse au détour d'un langoureux "Seven Nation Army" ou d'un délicieux "C'est toi que je t'aime" des Inconnuus. Eh oui, la nuit tout est permis :p
Une fois la retraite sonnée, la bande de joyeux fêtards intérimaires s'en est allée se réfugier chez Didier, proclamé nounou malgré lui afin de nous offrir gracieusement l'asile politique. Après un duel entre pseudo métaleux du dimanche et quelques tentatives de visionnage de DVD ; le choix fut fait de regarder le film d'un certain L.B. intitulé "Les clefs de bagnole". Enfin, après avoir regardé le levé de soleil et pris un bon petit déjeuner ; il était temps de se quitter la tête remplie de bon moment et avec l'espoir des ados insouciant de remettre cela très bientôt...
Puis Lucie dut nous quitter, mais Didier ayant surement tout prévu à l'avance comme Paco avec la station Mir, il nous présenta Aurélie qui partagea ainsi la suite de nos trépidantes aventures. Après un arrêt diététique au McDo et une marche digestive à l'image de ces glandeurs de retraité ; notre passé d'alcoolique refaisait surface...
Et là c'est le drame, pas une seule goutte d'alcool n'est autorisée à la vente. Mais bon cela était s'en compter le réseau de vente clandestin hérité de la prohibition américaine. Finalement, nous trouvons notre bonheur auprès d'un petit groupe qui nous envoya du bon vieux rock, nous permettant ainsi de faire quelques pas de danse au détour d'un langoureux "Seven Nation Army" ou d'un délicieux "C'est toi que je t'aime" des Inconnuus. Eh oui, la nuit tout est permis :p
Une fois la retraite sonnée, la bande de joyeux fêtards intérimaires s'en est allée se réfugier chez Didier, proclamé nounou malgré lui afin de nous offrir gracieusement l'asile politique. Après un duel entre pseudo métaleux du dimanche et quelques tentatives de visionnage de DVD ; le choix fut fait de regarder le film d'un certain L.B. intitulé "Les clefs de bagnole". Enfin, après avoir regardé le levé de soleil et pris un bon petit déjeuner ; il était temps de se quitter la tête remplie de bon moment et avec l'espoir des ados insouciant de remettre cela très bientôt...
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