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    mercredi 27 février 2008

    Le Samedi c'est journée marathon

    Après un début de semaine bien chargé par le travail à la fac et un rhume express en 4 jours tout compris, je vais enfin pouvoir comme Père Castor vous conter l'histoire de mon week-end.

    Flash-Back samedi :


    Comme prévu, j'ai passé la journée à Disney avec une bande de joyeux drill. Alors certes le parc était encore plus bondé que lors de son année d'ouverture, mais mon expérience du terrain nous a permis de faire un max d'attraction. Bon cela nous aura tout de même couter aux hommes du groupe (les vrais, les musclés, les beaux qui sente sous les bras) un footing mémorable en 30 minutes chrono ou nous avons fait le tour du premier parc pour récupérer les 6 précieux Fast Pass. Mise à part la cadence à pied digne d'une charge de fantassins entre les différentes attractions nous n'avons pas pu résister à pousser la chansonnette au cas ou le jury de la Nouvelle Star passerait par là. Cependant, ce qui à eu le plus de succès reste les slogans des manifs de droite ^^


    Une fois l'heure de la fermeture du parc sonné, cela annonçait le début de nouvelles aventures. Au revoir le monde merveilleux de Disney et direction la Nocturne Epita. Après un passage obliger au stand bouffe nipponne qui disparue de manière précipitée, direction la salle de jeu. Et là, c'est le drame !

    Pas une seule trace de DDR, tel un toxico en manque d'héroïne je cherche une drogue de substitution. J'ai finalement échoué sur REZ, afin de prendre une énorme dose de musique électronique sur ce jeu visuellement aussi psychédélique qu'un planage G33k, Peace, & Love. Enfin après une ultime partie sur SSBB, direction l'amphi pour prendre une bonne dose de drama et de Karaoké à vous rendre sourd et muet. Tout cela en compagnie de vielles connaissance que je n'avais pas vue de puis (trop) longtemps, ce qui m'a foutu en mode über-Happy (vous l'aurez remarqué, mais niveau expression des sentiments je suis aussi doué qu'un jeune timide innocent devant son premier coup de foudre).



    À tout cela c'est ajouté une rencontre, inattendue, surprenante d'une charmante demoiselle tentant de fuir le Don Juan local (sans rancune Kuro). Donc après cette opération humanitaire, j'ai pu me rendre compte face à elle que l'étendue de ma connaissance en japanimation n'excédait pas un brin d'herbe dans Central Park. Et elle en profita pour me prodiguer - via Chun-Li aux cuisses d'éléphant - une violente dérouillée sur Street Fighter. Puis retour au kara avec la demoiselle et les autres compagnons pour le rush final sur les coups de 6h du mat.

    Et c'est dans une atmosphère Rose Kawaï (© by me) que j'ai fini cette nuit blanche... 8h10 arrivé chez moi DODO !


    Fin du flash-back, Marty tu peux ranger la doloreanne

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