Cette semaine a lieu le massacre bi-annuel d'étudiant en amphithéâtre. Discipline prestigieuse pour tous nos chers "profs-fesseurs" d'université qui déploient des trésors d'ingéniosité dans le seul but de connaître un jour un amphi tombé en l'arme face aux traitements infligés. Et bien aujourd'hui il faut dire que notre cher professeur de droit administratif a su faire preuve d'un grand talent en la matière. En effet quoi de plus original de faire un partiel qui repose sur autre chose que le cours qu'il a prodigué. Méthode certes pas très loyale, mais la torture ma foi permet tout et surtout le pire.
Pour les personnes qui n'ont pas eu la joie de partager ce grand moment d'émotion, il s'agissait d'un commentaire d'arrêt du Conseil d'État relatif au licenciement d'un délégué syndical (malheureusement pas d'un glandeur de la RATP ou de la SNCF). En tout cas, l'affaire aura tout de même mis une dizaine d'années avant de connaître un dénouement. Comble du tout cette longueur aurait pu être évité si la cour d'appel (et sûrement le tribunal administratif) avait appliqué correctement une jurisprudence vieille de 20 ans. Comme quoi, ça a beau avoir réussi l'ENM, ça n'empêche pas la justice de passé pour une blonde...
Enfin si comme Jeanne d'Arc vous avez tendance à entendre des voix, aujourd'hui vous auriez sans doute pu entendre Gandalf vous dire :
Pour les personnes qui n'ont pas eu la joie de partager ce grand moment d'émotion, il s'agissait d'un commentaire d'arrêt du Conseil d'État relatif au licenciement d'un délégué syndical (malheureusement pas d'un glandeur de la RATP ou de la SNCF). En tout cas, l'affaire aura tout de même mis une dizaine d'années avant de connaître un dénouement. Comble du tout cette longueur aurait pu être évité si la cour d'appel (et sûrement le tribunal administratif) avait appliqué correctement une jurisprudence vieille de 20 ans. Comme quoi, ça a beau avoir réussi l'ENM, ça n'empêche pas la justice de passé pour une blonde...
Enfin si comme Jeanne d'Arc vous avez tendance à entendre des voix, aujourd'hui vous auriez sans doute pu entendre Gandalf vous dire :
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